ma petite chère francophonie
Il y a nombreux pays dans lesquels on parle français. On les appelle des francophonies. Les francophonies se trouvent partout dans le monde, y comprises l’Afrique, l’Amérique du Nord et du Sud, et l’Océanie ainsi que l’Europe, bien sûr. Comme ils sont assez populeux, le français a des locuteurs de grand nombre aussi. Ainsi l’apprentissage de français nous apporte des chances d'interagir avec le monde, que nous n’avons pas encore connu. Cependant, la plus grande joie que je sens en apprenant cette langue, ce n’est pas de chose si internationale, mais plutôt très domestique. C’est les rencontres avec des camarades au Japon, qui étudient la même langue. Comme la plupart des gens autour de nous ne nous comprennent pas en tant que nous nous bavardons en français, cette langue travaille comme moyen secret entre nous. Ce plaisir du partage d’un secret nous rend en bon terme.
En fait, je ne me souviens pas la raison pour laquelle j’ai commencé à apprendre le français. De toute façon, c’était quand j’étais collégien. En regardant le manuel de la géographie avec mon esprit d’ailleurs, j’ai trouvé une photo qui m’introduisait le multilinguisme en Suisse. Ce moment-là, brusquement, je me suis laissé regretter que je ne savais pas aucun sur les langues sur cette photo sauf l’anglais. Ainsi le français est devenu la première langue que j’apprends constamment de mon propre gré. C’est le début. C’était aussi possible de choisir l’allemand, l’italien ou le romanche, mais j’ai choisi le français sans raison spéciale. C’est tout mystérieux. Je crois que c’était l’opportunité que Dieu m’a donnée pour me voir rencontrer des ami·e·s que j’aime bien.
Plus connaître le français, c’est mieux comprendre ce que des camarades expriment. Donc chaque pas d’apprendre le français est toujours une joie pour moi. En vérité, mes expressions en français n’est pas encore très riches. Cependant, j’espère que cette petite francophonie de nôtre, toute jeune, isolée des autres, s’agrandisse bien, et devienne plus profonde et plus chère. Pour ça, je continuera avec passion l’apprentissage du moyen de la communication que Dieu nous avons donné.
C’est les passages que j’ai écrits pour l’examen de français à la faculté. La question originelle était comme ça : écris sur le français ou sur la France, de dix phrases, cinq en français, cinq en japonais. Je n’ai pas actuellement ma composition originelle, donc j’ai récrit ça sur le même thème, mais tout en français. Je veux écrire un passage un peu plus long en français la fois prochaine.