les impressions et les expressions

via les new-waves

originel, 25 mars 2022

C'était un choc pour moi de savoir que le tanka, comme je le savais, n'étaient pas au début des tankas. Pour notre génération, le new-wave était si normal qu'on le comprennait mal comme le tanka lui-même bien qu'il ne soit qu'en fait un secteur du tanka, un secteur marginal originellement. Il faut me rendre compte des tankas modernes et des tankas avant-gardes comme le frontier de l'histoire d'uta. Il faut m'excerciser les yeux pour apprécier le tanka avant le new-wave.

Il faut être new pour le new-wave d'ainsi s'appeler. Comme ça, les new-waves ont une obstacle intrinsèque même au départ. Malheureusement, le monde se formait sous les pouvoirs de l'homme, des ordres et de la maturation. Un défi contre le monde établi devait se réagir comme l'expression de l'immaturation, le centralisme du moi. Les quatres new-waveurs ne pouvaient que rester toujours jeunes malgré la fraîcheur perdue de plus en plus comme le temps se passe. La fraîcheur doit être maintenue pas par leur poursuite de meilleures expressions mais seulemet par des apparitions de stars nouveaux. Cette figure ressemble à celle de la société de la consumption de masse comme quelques critiques montrent. La définition par Kato Ziro du new-wave était un échec pour la raison qu'il a râté à se rendre compte de la nature de la nouveauté du new-wave.

Peut-être il y a plusieurs critiques contre le new-wave en particulier de les aspects des kazins avant les quatre. Regrettablement je n'ai pas encore bien compris les tanka. Autrement je ne pourrai jamais les comprendre au niveau du débat du kadan. Le dernier est sans doute bien plus probable. Néanmois, je veux oser me traduire sur un thème posé par Koïke Hikaru. Il suggère que les new-waves n'aient pas de nécessité d'être tanka. Il soit aussi possible qu'on se traduire la même chose dans une autre forme comme les romans, les chansons, les films etc. Ils adoptent le cadre de tanka seulement parce qu'ils ne peuvent être frais que comme les kazins. Cette vue sur le new-wave est, à mon avis, la conséquence que Koïke râte à se traiter comme objet. Les générations jusqu'à les tankas avant-gardes, en fait, héritent la tradition de tanka. Comme ça, ils déclarent qu'ils doivent être kazins. Pourtant, n'est-il pas la conséquence d'être kazins plutôt que la motivation qu'ils se sujettent sur la ligne de l'histoire de les utas ? La situation des deux est tout identique, n'est-ce pas ?

Dans tout cas, on a de la chance que des jeunes kazins sont apparus au coup par coup après les quatres new-waveurs. Ils relient les modernes et les new-waves sous l'influence extrême de la génération des quatre. La fissure entre les modernes et les quatre apprentis de l'avant-garde sont réparée de nouveau grâce à eux. Nous, les jeunes, sommes au départ attirés les new-waves plutôt que le tanka eux-même en mal comprenant qu'ils étaient le tanka entier. Si les modernes insinuaient que les new-waves ne soient pas admis dans la part centre d'une époque dans l'histoire d'uta, la plupart de jeunes n'hésiteraient pas à choisir les new-waves qui ne serait plus un secteur du tanka. Il est probable que les kazins doués éliraient plutôt les tankas, mais le monde d'eux serait plus petit et pas très riche. J'espère que les jeunes tankaïstes fraient un chemin nouveau jusqu'à la profondeur du tanka pour ce qui étaient entrés le monde des expressions de sons 31 via la grande porte inventée par les new-waveurs.

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