les impressions et les expressions

Le Shōjo

originel, 07 mars 2025

Le shōjo, le genre de manga dont je m'absorbais dans les journées collégiennes, est plein de rêves et d'espérances que les êtres humains ont trouvées dans l'amour pendant longtemps. Elles sont une idée impalpable, mais on a senti leur existence dans sa vie quotidienne et on a narré les histoires d'amour en souhaitant qu'elles soient héritées à ses descendants.

En avion qui semble de voler sans fin, je lisais kamisama-no orgel. Lorsque je l'ai acheté, j'étais en deuxième année à la faculté, et ça voulait dire que, pour moi, qui étais allé aux écoles de garçons, je ne pouvais qu'admirer l'amour dans la cave lointaine ce printemps-là. Mizusawa Megumi, l'auteure de cette œuvre, m'est l'artiste de manga la plus préférée, et ses œuvres sur les sentiments de pré-adolescents comme oshaberi-na jikanwari et hime-chan-no ribbon m'étaient presque identiques à la Bible. Par contre, kamisama-no orgel, une histoire sur l'amour et le mariage des étudiants, pas comme les séries accoutumées, était malheureusement trop compliqué pour moi en ce moment-là. Maintenant, mes journées à la faculté bientôt toutes finies, cette histoire m'intéresse bien plus.

Yumi, la protagoniste, épouse son copain Kōta, tous les deux étant étudiants, parce qu'elle est enceinte et met au monde leur fils. Ils se connurent dans l'association de la musique légère, et ils partageaient les valeurs. Cependant, leur point de vue s'est différé de plus en plus après le mariage, bien qu'ils fassent tous les deux des efforts en moyen d'existence Kōta devint plus enthousiaste pour ses chansons pour gagner sa vie. En revanche, Yumi contemplait les problèmes quotidiens qui se produisaient dans leur nouvelle vie.

C'était Moriya, un copain aîné à eux, qui détendit le cœur fatigué de Yumi. Pour cette jeune mère, il semblait d'être assez gentil et fiable. En fait, il était tombé amoureux d'elle secrètement. Un jour, il le lui avoua. Yumi apprécia le sentiment emphatique de Moriya et faillit à succomber à sa gentillesse, mais sa réponse était enfin comme ça : « Si seulement je pouvais aimer un mec si gentil comme toi ».

D'autre part, Kōta ouvre des concerts dans la rue pour se consoler. En ce moment, y apparut une fille qui s'appelait Noa, dont la prononciation est identique à Noah. Ennuyé par sa femme qui bêlait toujours de la vie et des ménages, Kota eût des sentiments vers cette fille avec laquelle il pouvait jouir de la discussion sur la musique idéale. Néanmoins, il se rendit compte plus tard que Noa était épousée aussi. En vérité, elle allait bientôt déménager à la campagne pour aider ses beaux-parents. Elle n'en était pas pessimiste quand même. Elle lui raconta qu'elle voulait être parolière et qu'elle avait l'intention de persister dans son défi aussi dans ses nouveaux environnements. Kōta regrette sa faibleté. Après tout, Yumi et son mari décidèrent de continuer leur vie ensemble.

C'est difficile d'aimer quelqu'un juste pour sa gentillesse. À ce qu'il paraît, on peut découvrir la racine commune de l'amour vers le partenaire et de la curiosité pour quelque chose d'intéressant ou d'élégant. Arendt dit que les actions — c'est-à-dire les interactions entre les êtres humains — clarifient le personnage unique de chacun et créent un monde plus riche et libre. Communiquer avec des autres, c'est épandre le moi vers l'extérieur. Le rapport romantique est l'exemple le meilleur de ça. D'autre part, l'acquisition d'une nouvelle habileté s'accompagne de la souffrance en même temps. Il s'agit de l'amour aussi. Celles qui m'attirent crient souvent de la cacophonie quand je sors avec elles. Le changement du moi, qui se produit dans l'amour, est d'une part la joie et d'autre part la douleur. Mais sans souffrir, il est impossible de se divertir.

Les amies de Yumi discutent si le mariage et les rendez-vous sont contigus. En entendant ce thème, la conclusion précitée perd la certitude tout de suite. Se marier, c'est faire la famille. La maison est pour se détendre, pas pour acquérir des capacités comme aux écoles ou au gymnase. Dans ce manga, le jeune couple vise à assurer leur rapport stable en élargissant leur possibilité de s'appuyer complémentairement. C'est une idée sans aucun doute. Cependant, l'auteur ne décrit pas négativement les avis d'autres caractères. Les amis de Yumi se paraissent pleins de confidences, n'importe quoi qu'elles pensent sur l'amour. Dans la discussion, personne ne vainquit et personne ne perdit.

Le shōjo nous aide par l'idée d'amour et mariage à interagir avec des autres et enrichir sa vie. Cependant, il ne peut que l'on explore en soi la façon pour réaliser ces idées.

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